Revue De La Replique Montre Breitling Superocean
Le premier modèle Breitling Superocean, introduit en 1957, était étanche à 200 mètres. La dernière version de la copie montre, que Breitling a dévoilée à Baselworld en 2010, a un niveau de résistance à l’eau de 1 500 mètres. Même si elle peut être portée à des profondeurs auxquelles seuls les plongeurs professionnels peuvent s’enfoncer – la replique de montre a même une valve à hélium, pour une utilisation dans une chambre de plongée – nous pensons que la plupart de ses propriétaires la considéreront comme -Faux montre de sport à usage quotidien. C’est dans ce contexte que nous avons testé la fausse montre. Il y a beaucoup à faire l’éloge de la replique Breitling Superocean, à commencer par son boîtier de 42 mm de diamètre, qui présente plusieurs caractéristiques standard de la marque Breitling : une lunette à cliquet en douceur, un polissage de haute qualité et un logo élaboré en relief sur le fond de boîtier. La lunette, qui ne tourne que dans un seul sens, est dotée d’un anneau distinctif en caoutchouc moulé dans lequel quatre chiffres et huit index, tous satinés, ont été incrustés en douceur. La finition est irréprochable. Le caoutchouc a tendance à attirer la poussière, et les marqueurs métalliques et les côtés polis du boîtier présentent rapidement des rayures, mais Breitling n’aurait pas pu empêcher ces problèmes.
La replique de montre Breitling Superocean est facile à utiliser. La lunette et les protège-couronnes posent peu de problèmes lorsque le porteur déverrouille la grande couronne cannelée et vissée, et la couronne s’engage bien dans ses deux positions. La tige de la couronne est très robuste et ne bouge pas du tout lorsque la couronne est retirée. Le mouvement de la fausse montre, l’ETA 2824, possède un mécanisme de piratage et une fonction de réglage rapide de la date. La cannelure prononcée sur la lunette permet au porteur de la tourner facilement, même avec des gants. La lunette clique en douceur par incréments d’une demi-minute. Le cadran a des avantages et des inconvénients. Les trois index surdimensionnés à 6, 9 et 12 heures, les aiguilles larges et les très grands chiffres inclinés confèrent à la replique une apparence dynamique. Les grands chiffres et marqueurs donnent cependant au cadran un aspect encombré, et la large lunette, qui réduit la taille et l’impact visuel du cadran, contribue à cet effet. Le guichet de date, qui sert d’index à 3h, est bien placé et sa taille est compatible avec celles des autres index. La lecture de la date peut néanmoins être difficile car les chiffres de l’anneau de date sont assez fins. Le problème est pire pour les chiffres 10 à 19 car le 1 est très proche du bord de la fenêtre de date.
L’heure est généralement facile à lire sur cette version de la Breitling Superocean, même si l’aiguille des minutes ne s’étend pas jusqu’à la minuterie. Parce que les marqueurs et les aiguilles sont si grands, ils offrent beaucoup d’espace pour un revêtement lumineux et brillent ainsi dans l’obscurité. Les plongeurs peuvent s’assurer que la fausse montre Breitling fonctionne toujours en regardant l’aiguille des secondes, dont la pointe lumineuse la rend visible dans l’eau sombre et trouble. La lunette n’est pas aussi pratique pour chronométrer une plongée qu’elle pourrait l’être, car elle n’a pas de point lumineux pour indiquer le début de la plongée (en fait, aucun des marqueurs de la lunette n’est lumineux). La lunette n’a pas non plus de marqueurs de minutes dans chaque incrément de cinq minutes, donc chronométrer une plongée à la minute implique des conjectures.